BÉRARD

Ce “chanteur à voix” excellait dans le genre grandiloquent. L’océan l’illustre et le mélodramissime Train fatal remporte la prime de l’humour involontaire (citons les derniers vers de la chanson : “Pourquoi ces pleurs, ces cris ? Pourquoi ces orphelins ? / Pour un simple, un tout petit rien / L’infidélité d’une femme ). Le chantre de l’épopée napoléonienne (Le rêve passe) n’aura pas à forcer son talent pour devenir celui de la boucherie de 14-18 (Verdun ! on ne passe pas !).