FERLAND (Jean-Pierre)

Sur les traces de Félix Leclerc, puis juste après Gilles Vigneault, le plus françois des chanteurs québécois se fait connaître dans l’hexagone avec un disque remarqué (Je reviens chez nous, Je le sais, La grande mélodie), puis un second (La mort du cerf d’Amérique). L’expérience ne se renouvellera pas. Jean-Pierre Ferland parait bien oublié aujourd’hui. Sans doute avait-on ensuite besoin, venant de la “belle province”, d’alcools plus forts... ou plus frelatés.