Les Joyeux bouchers (Boris Vian - Jimmy Walter)
Nous retrouvons ici la principale tête de turc de Boris Vian : à savoir la boucherie. Mais la boucherie rayon Verdun (et non celle que l’on exerçait en ce temps là du coté de La Villette ou de Vaugirard : “Faut qu’ça saigne ! “). Messieurs Vian et Walter ont donc écrit un tango pour arrêter la boucherie. Il s’agit d’un tango contre toutes les guerres d’hier, d’aujourd’hui et de demain. D’un tango pour en finir avec toutes les armées du monde. Il paraîtrait que les militaires ne dansent pas le tango ? Que guinchent-ils alors ? La danse macabre... Dans mes bras, beau militaire !