Paris ma rose (Henri Gougaud)

Où est-il passé Clément des cerises ? “, chante Henri Gougaud dans Paris ma rose qui rend ce bel hommage aux communards (“Du temps où les gars avaient si grand cœur / Qu’on n’voyait que lui / Au trou des chemises “), mais aussi aux “nonchalants du long des quais “, à “Villon et ses filles “, aux soleils de craie (...) qui faisaient l’amour aux murs des églises “, à tous “ceux qui fraternisent / Avec les murailles et les graffitis “. Oui, où est donc passée “Paris la rouge (...) Paris que j’aime et qui n’est plus “ ?