Rue de Lappe (Francis Lemarque - Revil)

Francis Lemarque nous trousse une Rue de Lappe sur un air de java (“Tous les samedis soirs on allait comm’ ça / Dans un bal musette pour danser comm’ ça “). On y apprend au passage que “Les frappes étaient chez eux / Rue de Lappe, rue de Lappe, en ce temps là “. C’’était alors le temps de la Bastoche, une époque qui semble à des années lumières du quartier “branché” d’aujourd’hui. Auparavant déjà, dans les années trente, Léon Paul Fargue ne retrouvait plus sa rue de Lappe : à savoir “cette puanteur noble et ces sourires de pègre sentimentale qui honorent encore aujourd’hui Marseille ou Hambourg”.