VERDIER (Joan Pau)

Principal représentant (avec Claude Marti) de cette chanson occitane apparue au détour des années 70, Joan Pau Verdier se situe dans une filiation libertaire (le Ni dieu ni maître de Léo Ferré devient en occitan Ni diu ni mestre). Verdier écrit et chante en occitan, mais aussi en français. D’où certains reproches, et cette réponse de Gui Maslobier : “Lorsque Joan Pau Verdier chante en français, c’est pour mieux montrer que la lutte du peuple d’Oc n’est que partie de la grande lutte de l’homme contre l’oppression”.