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WAL-BERG

Surtout connu comme chef d’orchestre (il a accompagné de la baguette la fine fleur de la chanson française dans les années 30, 40, 50), Wal-Berg est le compositeur des premières chansons de Prévert enregistrées (Embrasse-moi et Toute seule par Marianne Oswald, pour qui il composa plusieurs autres chansons sur des textes de Gaston Bonheur).


WALTER (Dominique)

Je ne me souviens pas de Dominique Walter. Excepté qu’il était le fils de Michèle Arnaud et qu’elle le faisait passer dans toutes ses émissions “. Extrait de Je ne me souviens pas (texte de Pierre Philippe dit par Jean Guidoni). Le nom de Dominique Walter reste surtout associé au titre Les petits boudins (une chanson très “oubliable” de Serge Gainsbourg).


WILLEMETZ (Albert)

Ce parolier a écrit quelques uns des plus gros succès de l’entre-deux-guerres : pour Mistinguett (Mon homme, La belote, J’en ai marre, En douce, La java, Paris sera toujours Paris, C’est vrai : tout Mistinguett ou presque !), et Maurice Chevalier (Dans la vie faut pas s’en faire, Valentine, Ah si vous connaissiez ma poule). La plupart de ces chansons étant extraites de l’une ou l’autre des nombreuses revues ou opérettes auxquelles Willemetz collabora. Autre chanson à connaître la faveur du public : Félicie aussi (Fernandel), Émilienne (Milton), En parlant un peu de Paris (Garat), Ramona (Saint-Granier).


WILLIAM (John)

Doté d’une belle voix chaude John William privéligie dans son tour de chant les gospel et negro spritual, (à coté de incontournable Ol’ man river signalons Je suis un nègre ). Le titre qui le fera découvrir en 1952 (Si toi aussi tu m’abandonnes, la chanson du film “Le train sifflera trois fois”, son plus gros succès) spécialisera John William dans les adaptations de musique de cinéma, principalement dans le genre western (Verte campagne, Le bleu de l’été).